mercredi 3 novembre 2010

Sondage ADEME : le climato-alarmisme ne fait plus recette...


... et le climato-scepticisme gagne du terrain !


L'influence des grands médias est toute relative ! Et les journalistes écolos, qui ont la prétention de penser que les grandes décisions se prennent dans les salles de rédaction, et les climato-alarmistes extrémistes devront revoir leur stratégie : lynchage médiatique et dialectique trotskyste ne sont plus adaptés à notre époque. Et non, les Français ne sont pas des veaux et il faudra mieux que du dénigrement systématique ou des pétitions appelant à la censure des climato-sceptiques pour les convaincre que le réchauffement est l'urgence planétaire du moment... de vrais arguments scientifiques peut-être ?

Selon les résultats rendus publics vendredi dernier d'une enquête menée par l'institut ISL pour l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) en septembre 2010 par téléphone auprès d'un échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population âgée de 15 ans et plus (méthode des quotas) :
- Le réchauffement climatique n'est cité parmi les problèmes d'environnement les plus préoccupants que par 19% des personnes interrogées, contre 28% en 2009 et 33% en 2007 (la même enquête est réalisée pour l'ADEME chaque année depuis 2000).

- Il s'agit du plus faible total depuis 2005, a précisé Daniel Boy, directeur de recherches au Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), qui a dévoilé les résultats au cours d'une table ronde sur les "controverses climatiques" organisée à Sciences Po Paris.

- Quelque 30% des sondés, contre 17% en 2009, estiment que le réchauffement de la planète est "un phénomène naturel qui a toujours existé" et ils ne sont plus que 65%, contre 81% en 2009, à l'attribuer aux activités humaines, qui est la thèse retenue par la communauté scientifique.

(Sources : 20minutes.fr - Ouest- France - AFP)



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